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mondon mu nyam'ejonnje
18 avril 2011

il est important de communiquer

parler communiquer a notre epoque est tres important dans le couple dans la famille dans le village entre les amies.

voila pourquoi je voudrais que nous les bona mondon ayons cette porte ouverte sur le monde d'autre peuples ont la meme idee et cela a reussi pouquoi pas nous 

nous somme une grande et avons prouve que nous sommes capable de grande chose venez et batissons mondon mu nyam'ejonje. 

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M
L'île Malimba beach au coeur d'Edea sur la Sanaga en 1951<br /> <br /> <br /> Départ pour Dibongo vers 1952
E
Les développements qui suivent sont un ensemble de propositions. Pour ce faire, sans être des positions tranchées, elles sont ouvertes à toute critique qui pourrait davantage mener notre peuple dans la voie difficile du développement, de la démarcation d’une situation quasiment statique, vers celle d’une mobilité dialectique décisive. Cette dernière pourrait signifier, affrontement des contraires pour une cohabitation toujours en mouvement et dont l’aboutissement est la réalisation d’un saut qualitatif qui propulse notre peuple aux premières lignes de l’histoire. Le concept affrontement peut prêter à confusion et endosser le sens de luttes intestines qui ne nous mèneraient nulle part. Pour nous, il porte en son sein une charge dynamique sensée influencer positivement la marche de notre communauté vers l’avant. Ainsi, nous pouvons tenir qu’une harmonie "parfaite" est en dernière analyse, une idéalité négatrice de mouvement, d’action concrète pour la reconstruction, pour le développement… Autrement dit, c’est à partir des débats opposant les diverses conceptions du développement de notre peuple qu’il sera possible de trouver un modèle fiable et viable, favorable à une éclosion significative de notre communauté. <br /> Le développement est un concept complexe. Il peut, revêtir la connotation d’une aisance matérielle qu’accompagne parfois une situation de paix ou de grande accalmie durant laquelle, tout le monde s’entend avec tout le monde. Ce qui est idyllique. Il peut également signifier la possibilité fréquente pour chaque personne de s’offrir ce dont elle a besoin. Il s’agirait alors d’une absence de précarité et de satisfaction totale des besoins. On pourrait parler d’opulence dans ce cas-là, le développement désignant, en substance chez les hommes, le franchissement des stades de croissance tant sur le plan physique que spirituel. Cela indiquerait que chez les hommes le développement est essentiellement synonyme, de leur évolution psychosomatique. Et que les situations d’aisance matérielles particulières sont à ranger dans le cadre de l’opulence même si on peut également noter dans ce cas, une marche ou un passage d’une situation de manque vers celle d’une possession consistante. En fait, si la consistance matérielle peut générer un état de paix intérieure qui s’extériorise généralement par la facilite à résoudre tel ou tel problème, que serait le cas chez les peuples ? <br /> Chez les peuples, la capacité de résolution des problèmes n’est pas stricto sensus, synonyme de développement. Elle peut signifier dépassement d’une situation quelconque ayant une certaine importance, mais ne représentant qu’une infime partie du chemin à parcourir. C’est ce qui expliquerait la résurgence des différends après qu’une difficulté ait été subjuguée. <br /> Ainsi, dans la vie d’un peuple, s’alternent régulièrement des périodes d’accalmie et de crise. Et en notre sens, les deuxièmes sont préférables aux premières. La raison est simple : les périodes de crise laissent transparaître les points de déchirure sociale que les débats et les actions concrètes pansent et cicatrisent tandis que celles de paix, dissimulent des crises profondes et latentes dont le déclenchement entraîne de manière irréversible, la déchirure du tissu social. En effet, ces moments de paix éphémère sont comparables aux plaies mal soignées dont la cicatrisation superficielle dissimule en réalité, une infection grave symptomatique au développement d’une gangrène cancéreuse. Généralement, ce qui arrive est l’amputation du membre affecté. Et chez les peuples on a affaire à une instabilité sociale de grande envergure avec des effets redoutables. <br /> En ce qui concerne le peuple mulimba, ces moments d’affrontement sont présents dans le cours de son histoire et se systématisent comme les principaux éléments constitutifs de son être –dans-le-monde donc, des référents ontologiques parce que, infalsifiables. Nul n’ignore par exemple, la bravoure du peuple Malimba dans sa lutte contre l’invasion coloniale… <br /> Les querelles opposant les enfants de ce peuple au sujet de la voie à suivre pour le développement, est l’expression de cet affrontement dynamique des contraires. Ces contradictions internes, si elles sont récurrentes, c’est parce qu’elles cherchent à s’objectiver comme pourvoyeuses des voies pour un mieux-vivre communautaire. La récurrence de ces discussions fortes a entraîné l’ouverture d’un espace d’expression libre au sein duquel les intelligences s’affrontent en vue d’une amélioration de nos visions du monde respectives au sujet du devenir historique de notre peuple.<br /> Après cette petite mise au point, revenons à l’objet principal de notre discussion : Une certaine idée pour le développement du peuple Mulimba. <br /> Ma position : <br /> Mulimba dispose d’importantes potentialités dont l’exploitation conséquente entraînerait son développement. <br /> Par développement je veux entendre, la réalisation d’un saut qualitatif à partir d’une gestion adéquate de ce dont on dispose et ceci, en vue d’un mieux-être général. La question est alors, comment y parvenir alors que les disparités qui ont cours chez les Malimba semblent dissiper les énergies et compromettre toute possibilité de décollage réel et conséquent ?<br /> J’insiste sur l’idée que les disparités sont des périodes de lutte pendant lesquelles, les débats contradictoires opèrent comme des dynamiques dont la finalité est la production d’une situation supérieure à celles qui lui étaient antérieures. Ainsi, ces disparités ne sont pas des obstacles en tant que tel pour le développement de notre peuple. Ce sont plutôt des moments d’évaluation critique ayant pour objectif : <br /> • Le recentrage de l’agir en vue d’une réorganisation des forces pour le développement.<br /> • La convergence des diverses forces en un bloc compact et résistant aux contradictions infructueuses qui pourraient dangereusement dévier la trajectoire devant mener au développement.<br /> • La constance dans la lutte pour le développement même en temps de crise parce que nous pensons que l’histoire est toujours dynamique et par conséquent, elle ne marquera jamais une pause pour notre cause. Et étant comme en compétition avec les autres peuples, ils ne ralentiront ni ne suspendront jamais leur marche par solidarité ou compassion pour notre situation décadente. D’ailleurs, chose pareille ne s’est jamais produite dans l’Histoire.<br /> <br /> Le développement du peuple Mulimba est une opération, qui lie trois grandes sphères incontournables et d’importance réelle. Ces trois sphères sont ; la sphère intellectuelle, la sphère économique et la sphère sociale. La cadence pour ce faire, est celle de l’unité dans le mouvement. En d’autres termes, ces trois sphères, en se déployant pour leur éclosion respective, travaillent en même temps à leur émergence mutuelle. Une sorte de cohabitation intersectorielle éclairée.<br /> Pour une direction efficace de ces ensembles, des comités de gestion seront créées et les membres, élus démocratiquement. Le mandat dure un an non renouvelable. <br /> Pour des questions pratiques nous souhaiterions d’abord commencer par la sphère économique, l’argent étant une nécessité fortement significative. Ce plan de développement tient pour trois décennies renouvelables. Des opérations préalables devront être effectuées. Il s’agirait donc de : <br /> • La recherche des capitaux : <br /> La création d’une caisse communautaire pour le développement est nécessaire. La principale source des capitaux, ce sont les cotisations quotidiennes à valeur de 100 (cent francs) CFA par personne. Si l’on recense par exemple, 100 malimba pour la seule ville de Douala, cela fera 10.000F (dix mille francs) CFA par jour. Pour un mois de 30 jours on aura amassé une somme d’argent de 300.000 F (trois cent mille francs) CFA. Si nous avons au moins quatre localités au sein desquelles nous pouvons réaliser ce chiffre, au bout d’un mois, nous aurons 1.200.000 F (un million deux cent mille francs) CFA, à la fin d’une année nous aurons récolté 14.400.000 F (quatorze millions quatre cent mille francs) CFA. Si cet argent est divisé par trois selon les trois sphères que nous avons énumérés ci-haut, chacune d’elle pourra bénéficier d’un premier financement de 4.800.000 F (quatre millions huit cent mille francs) CFA, qui sont peut être insuffisants pour un développement total de chaque secteur mais, nécessaires pour amorcer le processus. <br /> <br /> • La collecte des capitaux <br /> Elle se fera par zone selon une organisation collégiale bien outillée pour éviter toute forme de dispersion desdits capitaux. La collecte générale se faisant à la fin de chaque mois, l’on peut choisir de cotiser 2800 F au début de chaque mois. Cela veut dire qu’il y aura pour chaque grande zone, des sous-zones de collectes qui auront pour charge, de reverser leur cotisation dans la caisse communautaire de développement de leur région. <br /> <br /> • La gestion des capitaux <br /> Les capitaux serviront à l’achat du matériel nécessaire au déploiement des activités sous le prisme du regard vigilant de la communauté. Des séances de compte rendu élargies seront organisées mensuellement aux fins d’apporter de l’éclairage au sujet des dépenses effectuées et celles à venir. Nous avons choisi trois secteurs. Commençons par le secteur économique qui a pour source d’alimentation, l’agriculture.<br />  Le secteur économique<br /> <br /> Pour le domaine économique, nous avons choisi pour un départ, l’agriculture. L’agriculture est une activité facilitatrice de développement. Malimba possédant de vastes terres fertiles, des plantations communautaires pour le développement seront mises sur pied à Boongo, Mulimbejedu, Mulimbebenje et Mulongo, qui sont les quatre grandes divisions de Mulimba.<br /> D’où viendront les semences et la main d’œuvre ? <br /> Les semences, nous les achèterons dans des espaces commerciaux spécialisés au Cameroun et hors du Cameroun s’il le faut. Parce qu’il est question que notre peuple marche résolument vers la voie de son développement. Quant à la main d’œuvre, elle sera communautaire et fortement inscrite dans le régime d’un volontariat éclairé. En effet, chaque sous-division organisera des commissions internes pour le défrichage, les semailles, l’entretien des plantations et les récoltes. A une échelle restreinte, les hommes et les femmes malimba le font pour leurs champs et des séances de pêche, de chasse… On veut parler du « dibume ». <br /> Le terme volontariat éclairé signifie simplement que, chaque participant à l’effort de développement le fait librement parce qu’il est conscient de ce que la réalisation de celui-ci profitera à son peuple – c'est-à-dire à lui-même et à sa progéniture, mais aussi à tous ceux qui ont la racine Ilimbe.<br /> Les produits des récoltes seront pour l’essentiel soumis à la vente au sein du pays et à travers le monde, les denrées alimentaires en provenance du Cameroun étant fortement prisées à l’extérieur. Au niveau le plus simple, le Gabon et la Guinée Equatoriale par exemple très proches de nous constituent une potentielle clientèle. Une autre partie desdites récoltes seront conservées dans des greniers et serviront de semences pour des prochaines semailles. Cela veut simplement dire que nous mettrons sur pied, des banques de conservation des espèces agricoles. Il est aussi nécessaire de préciser que ces plantations communautaires seront étendues à malimba farm et autres espaces territoriaux malimba à l’effet de diversifier les cultures. Il est question en notre sens de procéder à une exploitation à outrance de nos potentialités naturelles afin de résorber nos problèmes matériels. Nous avons dit au départ que l’agriculture est une activité facilitatrice de développement. Les revenus de l’agriculture serviront donc à impulser le développement des autres domaines. Ainsi, Les revenus de l’agriculture, seront divisés en trois parties inégales à savoir 40%, 35% et 25%.<br /> Puisque l’agriculture aura déjà décollé, du moins, jusqu'à un certain seuil, 25% suffiraient pour entretenir ses activités. Il nous restera alors, à renforcer les secteurs intellectuels et sociaux qui auront également entrepris leur processus de mise en forme pour le développement. <br /> Ne perdons pas de vue ces deux secteurs ont bénéficié au même titre que l’agriculture, d’un préfinancement. L’agriculture leur vient en appui en raison de la facilité et de la rapidité qui accompagnent la production agricole. Et avec l’utilisation des techniques modernes et d’une main d’œuvre communautaire volontaire, motivée par la question du progrès, il est compréhensible que ce secteur émerge plus rapidement. <br /> <br />  Le secteur académique<br /> <br /> Le secteur académique se développera à travers l’octroi des bourses aux différents jeunes malimba poursuivant encore leurs études. Puisqu’il s’agit du développement, les bourses concerneront pour un début : <br /> - Les bacheliers que nous motiverons à poursuivre les études <br /> - Les étudiants de cycle licence (1, 2e, 3e année) et ceux inscrits dans des cycles de recherche. <br /> Ceux des cycles inférieurs pourront bénéficier des cours d’appui à l’effet de produire en eux une certaine émulation, en attendant que la sélection s’étende à leurs niveaux. <br /> Quand nous parlons de bourse, nous voulons insister sur la qualité. C'est-à-dire, ceux qui se seront distingués par de très bonnes notes au cours de l’année académique. Des lauréats. Cela signifie d’autre part qu’un travail de prospection et de recensement devra être préalablement fait et ce, en toute objectivité.<br /> En fait, l’octroi des bourses et la construction institutions académiques iront de pair. C’est pour cette raison que nous avons privilégié les deux premières catégories d’étudiants. Elles serviront plus tard dans nos écoles et différents centres de formation. Clairement nous contribuerons à la formation des hommes qui continueront le travail de développement de notre communauté et par extension, notre pays. <br /> Nos écoles seront ouvertes aux hommes des autres régions. A la différence que le taux de scolarité de ceux-ci sera élevé que celui des enfants malimba. La scolarité est à prendre dans le sens de contribution de chacun à l’effort du progrès. La rémunération des travailleurs sera fonction du niveau de développement de nos activités. Et même ceux qui auront participé au démarrage et à l’entretien du projet seront récompensés. <br /> <br />  Le secteur social<br /> <br /> Le développement du secteur social consistera en la construction des hôpitaux, des aires de jeux, des parcs d’attraction, des hôtels… quelques initiatives ont déjà été entreprises dans ce sens avec la construction des logements aux enseignants,<br /> Les revenus des secteurs agricoles et académiques serviront au développement au secteur social qui, en notre sens, offre d’importants chantiers à réaliser. <br /> <br /> Cette somme de proposition est fortement limitée cependant, pour toute chose, il faut un point de départ, une première mouture qui prend plus tard la bonne forme, celle qui sera le point final parce qu’ayant connu diverses retouches. Nous n’ignorons pas qu’il y a des frondes. Tirons- les de manière franche tout en pensant également, à ce qui fera la fierté actuelle et à venir de notre communauté.<br /> A bientôt.<br /> <br /> EBOUTE
C
Joyeuses fêtes de pâques! <br /> <br /> bisous<br /> <br /> Casa
E
L'histoire est en marche! C'est ainsi que j'ai choisi d'inaugurer cet autre espace de communication intermalimba.Ceci est le témoignage de ce que le peuple Malimba est résolument engagé dans son combat pour le développement, à partir d'une ouverture plurielle des tribunes de débats. Le débat, encore le débat et toujours le débat sur les questions fondamentales relatives à notre réalisation, voilà une chose louable.La pluralité des points de vue, des prises de position s'affrontant pour maturation conséquente du progrès historique de notre peuple, voilà ce qui est valable.<br /> L'on pourrait accuser les bonamondon de sécessionnisme ou alors de chauvinisme.Ce serait aller trop vite en besogne. il serait préférable de lire l'ouverture de ce nouvel espace comme un pas décisif vers la promotion du peuple Malimba. La raison serait la valorisation de la pluralité pour l'Unité. Je suspends pour le moment en invitant tout Malimba à l'Unité.
J
je suis plein de joie mon coeur deborde de bonheur je viens de decouvrir ce blog qui parle de bona mondon bongo mulimba enfin je pourais parler sans inquietude.<br /> merci
mondon mu nyam'ejonnje
  • pour toute la famille et tout les enfants de bona mondon ou qu'ils soient dans nos fils filles petit enfant et arriere petit enfant voici une porte ouverte pour le dialogue et la construction de notre bona mondon face a la mer le plus beau coin qui sur t
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